Vendredi 6 décembre 2013 le groupe SDE de notre classe de 1°CGEA a
participé à une formation sur la contention des bvins. Elle a duré
toute la journée et elle était encadrée par M. Dépernet professeur de
zootechnie et M. Hondareyte (intervenant). Cela s'est passé en deux temps :
- le matin de 8h30 à 12h30 s'est déroulée une partie
théorique en classe, durant laquelle M Hondareyte nous a expliqué comment
les bovins réagissent aux bruits, aux odeurs... Ensuite il nous a
appris par exemple comment aborder un animal en toute sécurité, afin
qu'il nous voit arriver et que l'on ne le surprenne pas
- l'après
midi de 13h30 à 16h30 a eu lieu une partie pratique sur l'exploitation
agricole du lycée durant laquelle M. Hondareyte nous a montré comment
faire des nœuds faciles à défaire, un licol buccal, des licols de
promenade et d'attache, des lassos.
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Petite démonstration de Mr Hondareyte |
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Jimmy maîtrise. |
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Ambiance studieuse. |
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Emilie s'exerce |
Licol de drogage |
TNLA 2014 : l'affiche
Pour cette édition 2014 du TNLA, le thème de l'affiche que nous devions réaliser est :
"La place de l'éleveur dans l'élevage bovin d'aujourd'hui"
La relation homme-animal dans l’élevage bovin aujourd’hui est, pour nous, essentiellement caractérisée par une proximité affective. Comment cependant dans une époque qui requiert évolution et adaptation, les jeunes pourront-ils s’insérer ?
Représenter ainsi la relation homme-animal permet d’illustrer un monde technique et professionnel où le troupeau rythme la vie de l’éleveur et suscite des vocations.
Semaine de Développement Durable
La classe de première CGEA participe au projet "écoparlement des jeunes".
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Jimmy présentant le scénario aux élèves d'autres établissements |
Pour voir des exemples de films, c'est par ici : http://epj-bearn.blogspot.fr/
Mardi 21 janvier ils se sont rassemblés avec d'autres élèves à Orthez. Leur proposition de scénario a été retenue à cette occasion pour notre plus grand plaisir. Mercredi ils visiteront l'exposition "le parcours de l'énergie" à Arthez de Béarn. Ils écriront les dialogues en cours de français, mettront en scène en cours d'éducation socio-culturelle et tourneront le film le 7 avril.
Projet "Regards Croisés"
Les élèves de terminale CGEA travaillent avec leur enseignante Geneviève Ducournau autour d'un projet visant à lutter contre les préjugés sur le rôle professionnel des hommes et des femmes. Ils préparent des sketchs sur leurs représentations des métiers de la filière Carrières Sanitaire et Sociale, auxquels se préparent les élèves du lycée voisin Francis Jammes. De leur côté, ces élèves en CSS théâtralisent leurs perceptions du métier d'agriculteur. Ils joueront leurs créations en fin d'année scolaire.
Tout d'abord, les deux classes ont débattu ensemble de la place des femmes et des hommes dans divers métiers. Le débat était animé par des membres de l'Association de Prévention spécialisée du Pays des Gaves.
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Un des supports commentés lors du débat. |
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Un support commenté lors du débat. |
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Le débat en classe animé par |
Puis ils ont montré chacun le contenu de leurs formations et même réalisé des travaux pratiques, dont voici quelques photos :
La toilette du nourrisson :
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Lavage de mains en plusieurs étapes pour une hygiène optimum |
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Démonstration d'un changement de couche par une élève de CSS |
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Exercice pratique pour un élève de la filière CGEA |
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Exercice sous haute suveillance |
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Rita, co-animatrice du projet, rappelle les bons gestes. |
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Agnès Lailhacar , enseignante participant au projet, apprécie l'exécution du change |
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Après avoir retirer la couche vient le temps de la toilette. |
Après les exercices en nurserie, les élèves ont travaillé en cuisine. il fallait réaliser des palmiers.
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Mme Menoux suit de près la préparation des biscuits. |
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Etalement de la pâte. |
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Pliage de la pâte. |
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Ils sont bientôt cuits. |
L' atelier
Origami a clôturé la journée ; cette animation, comme l'atelier cuisine
est destinée bien sûr à animer un groupe de jeunes enfants :
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Une grenouille |
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Confection d'animaux en papier |
Mme Arhantchet, enseignante en agronomie, et quelques élèves de CSS |
Exercice de pesée. |
Exercices de manipulation |
jeudi 14 février 2013
Découverte de la course landaise
C'est
pour le plus grand plaisir des élèves de seconde CGEA et de leurs
anciens enseignants que Laurent Darrouzes, Mathieu Noguès et Laurent
Saint Germain sont venus témoigner de leur expérience d'écarteurs,
sauteur, mais aussi d'agriculteurs. Ils ont expliqué les raisons qui les
ont poussés à descendre dans l'arène, mais aussi leur attention à se
construire un avenir professionnel.
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De gauche à droite : Laurent Saint Germain, Laurent Darrouzes, Mathieu Noguès, Violeta Almagro, enseignante |
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Laurent
Saint Germain fils et petit-fils d'agriculteurs a assisté à sa première
course landaise vers 4 ans à Pimbo. Son père, passionné, l'emmenait
souvent. Laurent a très vite le coup de foudre pour le boléro, les
vaches. Il désire être écarteur et agriculteur. Aujourd'hui âgé de 21
ans, il a réalisé le premier de ses rêves. Il a intégré l'école taurine à
15 ans et la ganaderia de formelle DAL de Michel Agruna à 17 ans. En
2008 il a été couronné champion de France des jeunes écarteurs. Depuis
chaque année pour le plus grand plaisir du public il contribue
généreusement à la réussite de son équipe.
Dans
le même temps Laurent a décroché son BEPA productions animales puis son
Bac Pro Conduite et gestion d'une exploitation agricole dans notre
lycée. Désireux d'être polyvalent afin de trouver plus aisément du
travail, il a poursuivi par un certificat de spécialisation tracteurs et
machines agricoles. Il suit actuellement un CAP conducteur routier
marchandises à
Mont-de-Marsan
qui va lui permettre de passer le permis poids lourd et le permis super
lourd. Beaucoup de volonté et de réussite dans le parcours de Laurent,
qui nous donne rendez-vous au SIA.
Laurent
Darrouzes, âgé de 26 ans, est aussi fils d'agriculteur. Il a travaillé à
Lur Berri, au séchage du maïs après avoir suivi ses études ( BEPA
Productions Animales et Bac Pro CGEA Productions Animales ).
En
2012 il a décidé de changer et a monté avec un associé une entreprise
agricole de transport de marchandises après avoir passé le permis poids
lourd, super lourd et le FIMO.
Champion
des jeunes sauteurs en 2004, il concoure pour la ganadéria
Armagnacaise. Blessé au rugby, il n'a que peu évolué en 2012. Aussi se
prépare-t-il avec sérieux à sa reprise en 2013 : gymnastique,
musculation, footing, séances de sauts.
Laurent
aime la compétition par équipe. Mais il aime aussi les défis, il l'a
prouvé souvent en sautant des taureaux au Festival Art et Courage à
Pomarez, à Toros y Salsa à Dax . C'est avec beaucoup d'intérêt que nous
allons suivre son retour dans l'arène le 24 février à Saint Loubouer.
Mathieu
Noguès, grand champion, a remporté depuis 2008, année de son
intégration à la DAL de Michel Agruna de nombreux titres. Tout
particulièrement en 2010 : vainqueur du Concours individuel de Dax et
Mont-de-Marsan, du Championnat de vache sans corde, du Championnat de
France des arènes de Mont-de-Marsan, premier à l'Escalot. Il a su rester
parmi les meilleurs en 2011 et 2012. Il tient assurément de son père,
champion de France des écarteurs, qui l'emmenait aux courses depuis son
plus jeune âge.
Il est aujourd'hui associé avec lui sur l'exploitation agricole, ce qui lui permet de mieux concilier sa passion et son travail.
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Mathieu Nogues montre à la classe son boléro de parade |
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Le boléro blanc est réservé au champion de France des écarteurs |
Merci à eux pour leurs témoignages, et nous leur souhaitons beaucoup de réussite, dans l'arène et professionnellement.
vendredi 8 février 2013
Visite de Maïsadour
Nous avons visité plusieurs sites du groupe Maïsadour, le mardi 5 février. Cette journée s'inscrit dans la semaine d'insertion professionnelle, durant laquelle nous avons peaufiné notre projet professionnel : rencontre avec d'anciens élèves qui ont témoigné sur leur installation ou ont présenté la formation qu'ils poursuivent actuellement. Certains sont en BTSA, d'autres en certificat de spécialisation. Nous avons travaillé sur notre CV, notre lettre de motivation ou simulé des entretiens d'embauche. Nous avons également pu échanger avec des professionnels : banquier, notaire, agriculteur.Pour conclure, voici quelques photos de notre visite de MaïsAdour :
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Siège du groupe Maïsadour |
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Salle de découpe des canards de l'abattoir Excel à Gibret. |
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Découpe des canards |
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Entrepôt de stockage de l'usine de nutrition animale à Haut Mauco |
Rencontre avec Caroline Pandelé
Jeudi
6 décembre, Caroline Pandelé, photographe plasticienne, a rencontré les
élèves de terminale CGEA. A l'initiative de Geneviève Ducournau,
enseignante d'éducation socioculturelle, en partenariat avec
l'association Image-Imatge de la ville d'Orthez, cette artiste va
accompagner les élèves dans la réalisation d'un travail de mémoire à
partir de photographies familiales.
Elle leur a tout d'abord présenté son travail, son approche artistique et plusieurs de ses réalisations.
En
14 ans, ses recherches l'ont amenée à aller à la rencontre de lieux
comme des hôpitaux, des hôpitaux psychiatriques, des maisons d'arrêt
notamment dans le cadre de résidences artistiques. Elle observe les
lieux et exprime par ses photos l'indicible. Ce que l'on ne peut pas
dire, ce qui est caché (comme les informations sur les patients
contenues dans leurs dossiers), ou la solitude, la maladie, la mort,
mais aussi la transmission, la mémoire.
Ensuite
elle s'intéresse à l'usage que l'on fait de l'image. Par exemple ses
photos sont exposées de façon à faire vivre des espaces, parler de ces
espaces et de ceux qui y vivent. Elles amènent aussi les spectateurs à
découvrir des endroits où ils ne vont jamais.
Elle
aime le pouvoir de capture du réel qu'offre la photo ; même si rien
n'est laissé au hasard dans ses photos : l'objet photographié, le
cadrage, la sélection. Mais elle n'effectue aucune composition, elle ne
photographie que ce qui existe déjà.
Elle
privilégie les gros plans, les détails, les fragments, amène le regard
du spectateur à glisser dans le hors-champ, est très directive. Ces
détails anodins photographiés sont chargés de sens parce qu'ils sont
pris dans un type de lieux précis
; par exemple une vis dans une tasse dans un hôpital psychiatrique. Il
est incongru de mettre une vis dans un tel récipient et l'image parle
ainsi de la maladie. L'oeuvre est créée dans un milieu donné, le
spectateur pourra l'utiliser ou pas pour l'interpréter.
Si
ses photos au premier abord attirent souvent par leurs couleurs
notamment, une approche plus attentive révèle toujours un élément qui
suscite la répulsion. Elle crée un entre-deux.
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La classe, Geneviève Ducournau notre professeur d'ESC et Audrey Jochum du centre d'art Image Imatge |
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Echanges avec l'artiste |
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Hugo montre ses photos à l'artiste |
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Présentation des recherches d'élèves |
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Caroline Pandelé devant une de ses oeuvres |
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